Gestion pratique du vieux cheval

En 2021, 126 000 équidés sont âgés de plus de 20 ans. Le vieillissement est un phénomène naturel, caractérisé par un ensemble de mécanismes biologiques, conduisant un organisme à ne plus assurer son équilibre physiologique. Une attention et des soins accrus, ainsi qu’un suivi vétérinaire régulier, sont nécessaires afin d’assurer à ces vieux chevaux une bonne qualité de vie. Le choix du moment de l’euthanasie doit être également réfléchi en amont, avec l’aide d'un vétérinaire.

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Niveau de technicité :
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Sommaire

Quelques chiffres

Part des équidés âgés de plus de 20 ans dans la population totale

En l’espace de dix ans, la population d’équidés de plus de 20 ans est passée de 81 000 (en 2011) à 126 000 (en 2021), alors que dans le même temps la population totale a légèrement diminué. Cela est notamment dû à une augmentation des naissances dans les années 1990-2000 et à une forte diminution des abattages. Les équidés âgés de plus de 20 ans représentent ainsi 12% de la population totale d’équidés en 2021. Une baisse de 5% est cependant attendue d’ici 2030, en lien avec une baisse des naissances au cours des années 2010 (OESC-IFCE).

Espérance de vie des équidés

L’espérance de vie (durée de vie moyenne d’un individu dans une population) d’un cheval est de 18 ans, mais il existe de fortes disparités : près de la moitié des équidés meurent avant 18 ans et 1/5 atteignent l’âge de 26 ans. Les équidés atteignant l’âge de 15 ans ont une espérance de vie proche de 29 ans. Certains individus peuvent atteindre l’âge de 40 ans (OESC-IFCE).

Une surveillance rapprochée

Le vieillissement du cheval est associé à de nombreuses modifications physiologiques et à un risque plus élevé de développer des maladies. Une surveillance accrue par rapport aux jeunes chevaux est donc nécessaire. Cette surveillance doit être minutieuse afin de déceler rapidement des signes cliniques évocateurs de maladies et faire intervenir le vétérinaire traitant dès que possible. En plus des signes de bonne santé à observer classiquement chez tous les chevaux, le détenteur doit être très vigilant sur les paramètres suivants :


Points de vigilance chez le cheval âgé © M. Delerue
Sur quels éléments faut-il porter une vigilance accrue ?Pourquoi est-ce important ?
Évaluation de l'état de la peau et du poil par un pansage régulier
  • Risque accru :
    • D'infections de la peau (exemple : dermatophilose)
    • D'infestations par les parasites externes (exemple : poux)
    • De lésions tumorales (exemple : mélanomes)
  • Détection précoce de signes d'alerte de la maladie de Cushing : hirsutisme, anomalie de la mue
Évaluation de l'état des pieds par un curage régulier
  • Éviter les défauts de parage qui augmentent les douleurs locomotrices
  • Détection précoce des affections fréquentes chez le cheval au pré (exemples : abcès, seime)
Suivi régulier de l'état corporel
  • Détection précoce de l'amaigrissement, qui est un signe d'alerte de nombreuses maladies et notamment de problèmes dentaires
  • Détection précoce d'une prise de poids, notamment au printemps et en automne, favorisant un stress sur des articulations déjà douloureuses et augmentant le risque de fourbure
Observation régulière lors de la prise de nourriture

Détection précoce de :

  • Difficultés à se déplacer pour accéder au point d'alimentation
  • Problèmes hiérarchiques dans le groupe l'empêchant de s'alimenter correctement
  • Difficultés de préhension et mastication liés à des problèmes dentaires
  • Baisse d'appétit
Présence de toux ou de difficultés respiratoires

Risque accru :

  • D'asthme équin, nécessitant un environnement le moins poussiéreux possible
  • D'infections de l'appareil respiratoire (exemple : sinusite)
Observation des déplacements et des actions pour se coucher et se leverDouleurs locomotrices fréquentes, responsables d'une diminution de la prise alimentaire et de difficultés à se coucher et se lever, nécessitant parfois l'aide du détenteur

L’expression de la douleur chez les chevaux âgés peut être moins facile à appréhender que chez un jeune cheval, d’où l’importance d’une vigilance accrue.

Des soins préventifs réguliers

Santé générale

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© N. Genoux
Un examen clinique régulier doit être effectué par le vétérinaire traitant car le cheval âgé a plus de risques d’être atteint d’une maladie chronique et les signes cliniques peuvent être moins évidents à observer que chez le jeune cheval. Ce suivi régulier est également important pour discuter avec le vétérinaire du moment adéquat pour décider de l’euthanasie du cheval.

Un amaigrissement doit constituer un signe d’alerte déclenchant une visite vétérinaire. En effet, même si le vieillissement en lui-même peut favoriser un amaigrissement, il est le plus souvent également associé à une ou plusieurs maladie(s). Un suivi de la note d’état corporel est donc très important. Pour faciliter ce suivi, l'IFCE met à disposition un outil de simulation en ligne, gratuit et accessible à tous.

Du fait de l’altération du système immunitaire, une augmentation de la fréquence des rappels de vaccination est préconisée :

  • Vaccination contre le tétanos : rappels 1 fois par an.
  • Vaccination contre la grippe et la rhinopneumonie : rappels annuels au minimum, voire tous les 6 mois en cas de risque infectieux augmenté (contact avec des équidés se déplaçant fréquemment ou cheval atteint de la maladie de Cushing induisant une baisse d'immunité par exemple).

Les préconisations concernant la vermifugation sont identiques à celles des chevaux adultes.


Les dents

Un suivi dentaire deux fois par an est conseillé : les problèmes dentaires sont très fréquents chez le cheval âgé et constituent la première cause d’amaigrissement.

Les pieds

Ferré ou déferré ?

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Même déferré au pré, le vieux cheval a besoin d'être suivi régulièrement par un maréchal-ferrant... pas de pied, pas de cheval ! © P. Ritter
Le vieux cheval est en général maintenu déferré. Pour des chevaux ayant été travaillés et ferrés toute leur vie, il faudra néanmoins être attentif à l'évolution des pieds lors du premier déferrage et adopter une période de transition pour éduquer le sabot à se maintenir.

Si les pieds s'avèrent trop fragiles (problèmes de locomotion, boiterie), une ferrure légère et adaptée apportera plus de confort, notamment aux membres antérieurs.

Lorsque cela est possible, les membres postérieurs seront déferrés afin d'assurer une sécurité pour la vie en groupe (limiter les coups de pieds ferrés).


Conseils d'entretien

Un parage régulier, effectué par un maréchal-ferrant, est nécessaire pour éviter les défectuosités d’aplombs et l’augmentation des douleurs de l’appareil locomoteur, fréquentes chez le cheval âgé.

Le détenteur doit également surveiller régulièrement l'état des pieds et adapter les soins en conséquence :

  • Par temps très humide, assécher le pied avec du goudron de Norvège (sur la fourchette et la sole).
  • Par temps très sec, appliquer des produits à base d'huile de lin, de laurier ou d'huile de pied de bœuf pour réhydrater la corne.

En hiver, il est souhaitable de donner accès à des surfaces stabilisées, plus au sec, pour éviter que les chevaux aient en permanence les pieds dans la boue.

Un mode de vie adapté

Un hébergement adapté

D’après une enquête de l’Observatoire Économique et Social du Cheval (OESC) menée en 2020 auprès de 600 propriétaires, près de 60% des équidés retraités sont hébergés au pré à l’année. Environ 35% sont rentrés au box ou en stabulation fermée durant une partie de l’année au moins.

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Dans l'idéal, le vieux cheval doit être hébergé dans un pré entretenu et en groupe, avec un accès à volonté aux fourrages et à l'eau, et un abri à disposition © L. Marnay
Un cheval âgé est idéalement logé au pré pour :

  • Lui permettre de se déplacer et donc limiter la fonte musculaire et l’ankylose articulaire.
  • Limiter les conséquences cliniques d'un asthme éventuel, favorisées par un environnement poussiéreux.

Le pré doit être bien entretenu et ne pas comporter d’éléments dangereux car le cheval âgé est moins attentif à son environnement et peut présenter des troubles de l’équilibre voire une faiblesse généralisée.

Comme pour les jeunes chevaux, l'hébergement en groupe est préconisé. Dans l’idéal, ce groupe sera assez stable car le cheval âgé est plus sensible aux changements.

Le cheval âgé régule moins bien sa température du fait, notamment, de la diminution de ses réserves graisseuses. Un abri doit être à sa disposition pour le protéger du vent et des intempéries mais aussi de la chaleur en été. Cet abri doit lui permettre de se coucher sur un sol sec et non glissant afin de faciliter le coucher et le relever.

En hiver, les parcelles très boueuses doivent être évitées car elles peuvent être à l’origine de dermatophilose, infection des membres fréquente chez les vieux chevaux, ou de difficultés importantes à se déplacer.

Une alimentation spécifique

Rationnement

La ration sera composée de fourrages : minimum 20% de cellulose dans la ration et au moins 2% du poids vif du cheval en kg de matière sèche. Des aliments concentrés seront distribués selon la saison (indisponibilité en herbe) et en fonction de l'état corporel du cheval, donc généralement plus particulièrement en hiver. Le fourrage devra être appétent, sans poussières ni moisissures. On pourra privilégier l'utilisation d'enrubanné ou de foin récoltés à un stade précoce, donc plus digestibles pour les chevaux âgés qui ont du mal à garder de l'état. Des fourrages plus fibreux (récoltés plus tardivement) seront en revanche distribués aux chevaux dont l'état d'embonpoint est installé.

Le concentré n'est pas indispensable et sera distribué uniquement aux chevaux qui ont du mal à se maintenir en état avec une ration herbe et/ou fourrage exclusive. Il existe aujourd’hui, sur le marché, une gamme importante d’aliments floconnés ou granulés destinés aux chevaux âgés. Ces aliments sont généralement très appétents et permettent de palier à la perte d’appétit parfois observée sur ces animaux.

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Un fourrage adapté et de l'eau à volonté... © N. Genoux
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... et un apport de concentrés en complément © L. Marnay


L'alimentation devra être suffisamment riche en protéines et en acides aminés essentiels, notamment la lysine et la thréonine (tourteau de soja, luzerne). Il faudra en revanche limiter l'apport d'aliments riches en amidon, notamment pour les chevaux atteints de la maladie de Cushing sujets aux fourbures chroniques. La luzerne et la pulpe de betterave ont par exemple un index glycémique beaucoup plus réduit (moins d'amidon) que le maïs, l'avoine ou l'orge. L'huile peut aussi apporter deux fois plus d'énergie que les céréales, sans apporter d'amidon.

Les besoins en minéraux et oligo-éléments sont similaires aux autres catégories de chevaux. Une supplémentation en vitamine C ou E permettrait d'améliorer la réponse vaccinale. D'autres vitamines (A, E, C) et certains oligo-éléments auraient un effet anti-oxydant, limitant le vieillissement des tissus. Un apport sous forme de bloc ou seau à lécher doit être mis à disposition en permanence.

Les aliments concentrés du commerce sont tous enrichis en minéraux et oligo-éléments. Éviter de distribuer des minéraux et vitamines en sus dans les rations lorsque ces concentrés sont déjà distribués.
Distribution des aliments

Au sein d'un groupe, le vieux cheval peut parfois être dominé par les plus jeunes lors de la distribution de nourriture. Il faudra veiller à le mettre à l'écart pour qu'il ait accès à sa ration et laisser suffisamment de place disponible pour l'accès aux fourrages.

On pourra ajuster la hauteur de la mangeoire pour faciliter la préhension des aliments, notamment pour les chevaux qui souffriraient de maux de dos ou de pieds, limitant ainsi l'abaissement de l'encolure et la surcharge des membres antérieurs.

On privilégiera plutôt la distribution de petits repas fréquents de concentrés, tout en garantissant un accès au fourrage à volonté.

Si le cheval ne mange plus de fourrage, a du mal à mâcher et/ou rejette une partie des aliments, il est primordial de faire vérifier sa dentition par un spécialiste avant toute recherche de complémentation en concentrés pour le faire grossir. Dans le cas où le cheval a du mal à mâcher, on pourra hacher le foin et lui apporter des concentrés présentés sous forme de barbotages, de soupes ou de bouchons mous, ou des aliments extrudés plutôt que des bouchons durs et secs.

Enfin, l’accès à l’eau et aux fourrages doit être facile pour les chevaux présentant des douleurs locomotrices.

Au printemps, l'herbe est plus riche en sucres et en matières azotées, ce qui peut favoriser les fourbures lorsque le cheval est déjà obèse et/ou lorsqu'il est déjà sujet à des maladies métaboliques (syndrome de Cushing, syndrome métabolique équin). Faire entrer les vieux chevaux sur la nouvelle parcelle de façon progressive, c'est-à-dire quelques heures les premiers jours, puis augmenter le temps de présence progressivement sur une période d'au moins 10 jours. Penser à surveiller l'état des crottins (diarrhée ou crottins trop secs enrobés de mucus) pendant cette période.

De l'aide pour mieux supporter les contraintes saisonnières

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Couvrez-le en hiver si nécessaire... © N. Genoux
En hiver, les chevaux rustiques n'ont pas forcément besoin de couverture, surtout si leur état corporel est satisfaisant. En revanche, ceux qui font peu de poils ou qui ont tendance à perdre de l'état pourront être couverts avec une couverture imperméable et/ou rentrés au box la nuit. Cela permettra d'éviter une perte d’état trop importante. Attention, la couverture devra être retirée régulièrement pour vérifier l’absence de blessures, escarres ou infections cutanées.

En été, un masque peut être utilisé pour protéger ses yeux, plus fragiles, de l’irritation par les insectes et les rayons UV. Il est également important que le cheval ait au minimum une zone ombragée et/ou un abri à disposition dans la parcelle pour pouvoir se protéger.


De l'exercice physique, certes modéré, mais maintenu !

D’après une enquête de l’OESC, la moitié des chevaux âgés de 20 à 25 ans sont encore utilisés.

Un travail adapté à ses capacités physiques peut être bénéfique pour la santé du cheval âgé, notamment pour éviter une fonte musculaire trop rapide, favoriser la souplesse articulaire et entretenir une bonne fonction cardio-vasculaire. Certaines spécificités sont cependant à connaître.


Le travail du vieux cheval doit être adapté © M. Delerue
Quels conseils pour un travail adapté ?Pourquoi est-ce important ?
► Aménager des périodes de récupération fréquentes
► Éviter le travail en cas de fortes chaleurs
Diminution des facultés de thermorégulation
Favoriser l'abreuvement pendant et/ou après le travailRisque accru de déshydratation
► Effectuer un travail régulier et éviter les longues pauses hivernales
► En cas de longue pause, reprendre le travail de manière très progressive
► Capacités d'adaptation réduites
► Fonte musculaire plus rapide

Le choix de l'euthanasie

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© N. Genoux
Le choix de l'euthanasie doit être pris en concertation entre :

  • Le vétérinaire traitant, qui connaît le pronostic des maladies éventuellement diagnostiquées et pourra évaluer l’état de bien-être du cheval au moment de la consultation. Le suivi régulier du cheval est donc très important.
  • Le détenteur du cheval, qui l’observe au quotidien et a un avis sur sa qualité de vie.
  • Et le propriétaire.

Les actes d’euthanasie peuvent être la conséquence :

  • De maladies aigües, où la décision devra être prise rapidement, comme par exemple des coliques. Il est important que le détenteur ait réfléchi à ces éventualités en amont.
  • D’affections chroniques à l’origine de douleurs importantes et/ou d’une qualité de vie dégradée malgré la prise en charge médicale (difficulté à s’alimenter, à se déplacer ou se relever, amaigrissement important…).

Pour favoriser une euthanasie dans de bonnes conditions pour le cheval et son propriétaire, il est conseillé de réaliser une sédation, puis une anesthésie générale, avant d’injecter le produit euthanasiant. Une euthanasie éthique provoque une perte de conscience avant l’arrêt cardio-respiratoire.

Pour l’enlèvement du cheval, il faudra ensuite contacter :

  • Soit un service d’équarrissage via l’ATM Équidé-Angee
  • Soit un service de crémation
Pour plus d'informations, consulter la page SIRE & Démarches relative à la mort d'un équidé et à la question de l'équarissage.

Ce qu'il faut retenir

Plus sensible aux affections, le cheval âgé requiert une attention particulière. Un suivi journalier de son état de santé est nécessaire afin de déceler le moindre problème (contrôler son état général, son comportement, ses postures, ses membres, ses yeux, et si possible la consistance de ses crottins…).

Une visite vétérinaire régulière permettra de contrôler l'état physiologique de l'animal et d'éventuels signes de maladies.

La vaccination, la vermifugation, les soins dentaires et de maréchalerie font partie des soins préventifs incontournables pour assurer santé et confort dans les dernières années de sa vie.

En savoir plus sur nos auteurs
  • Marie DELERUE Docteure vétérinaire - experte sanitaire spécialité équine et ingénieure de recherche & développement IFCE
  • Pauline DOLIGEZ Ingénieure de projets & développement « Alimentation et entretien des équidés » IFCE
  • Laetitia LE MASNE Ingénieure de développement IFCE

Bibliographie

  • BAUP B. et DOFFEMONT P. (2013). La gestion du pied du cheval âgé : les points de vue du maréchal-ferrant et du vétérinaire. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 32-41.
  • CADORE J.L. (2013). Importance du cheval âgé en pratique équine. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 6-9.
  • CHUIT P. et GAUCHOT J.Y. (2013). Les soins dentaires chez l'équidé âgé. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 24-30.
  • DAUVILLIER J. (2013). L’âge limite-t-il l’exercice chez le cheval ? Comment prolonger la carrière sportive ? Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 74-79.
  • GEYL C. et DORNIER X. (2021). Gestion de la fin de vie : Quels dispositifs pour répondre aux besoins futurs ? | Synthèse 2020. Observatoire Économique et Social du Cheval (OESC) de l'IFCE, 18 pages.
  • LENORMAND M. (2013). Affections locomotrices du cheval âgé. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 66-73.
  • MARTIN ROSSET W. et coord. (2012). Nutrition et alimentation des chevaux. Nouvelles recommandations alimentaires de l'INRA. Éditions QUAE, 620 pages.
  • PICANDET V. (2013). Prévention adaptée à l'immunosénescence et gestion au quotidien des affections et difficultés les plus courantes. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 18-23.
  • PILLINER S. (1999). Care of the older horse. Allen Photographic Guides, guide n°22, British Library, 23 pages.
  • PRADIER S. (2013). Les conséquences pratiques et physiologiques du vieillissement chez le cheval. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 10-17.
  • PRIYMENKO N. (2013). L'alimentation du cheval âgé. Pratique Vétérinaire Équine, n° spécial Gérontologie des équidés, 45, pages 42-47.
  • TRILLAUD-GEYL C. (2011). L'alimentation du vieux cheval : enquête de terrain. Équ'idée n°75, été 2011, édition Les Haras nationaux, pages 31-33.
Pour retrouver ce document: www.equipedia.ifce.fr
Date d'édition : 12 05 2024

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